Je suis, je reste Y’a les voisins du 1er qui s’engueulent tout le temps Parait qu’elle va le quitter, enfin pas tout d’suite maint’nant Y’a l’étudiant du dessous qui remixe tous les soirs Quant à la dame d’en face, elle vit tout l’temps dans le noir, Et Moi c’est pas que j’suis en détresse J’ai juste à attendre sagement, Qu’un jour ou l’autre tout cela cesse Je suis, je reste en confinement Je fais d’la pâte à mod’ler, j’imprime des documents J’passe un coup d’fil à mémé, elle s’ennuie évidemment Tiens ce soir on va trinquer à Titi , à ses 20 ans, Juste après avoir fini ma séance d’entrainement Et Y’a des moments ou l’moral baisse Mais j’profite avec les enfants Moi qu’avait bâclé leurs jeunesses Je suis, je reste en confinement Ils rêvent tous de sortir, d’être libres de leurs mouvements Passent la journée à maudire ce foutu gouvernement, « M’obliger à rester là, dans mon p’tit appartement, Non mais vous m’prenez pour quoi ?, Si c’est comme ça j’pars en joggant » Ils sont aux f’netres tous les soirs, applaudissent tous les soignants Les routiers, livreurs éboueurs et les caissières évidemment Mais d’leurs revendications, ils se moquent allégrement, « Leur combat c’est leur combat, désolé moi j’ai pas l’temps » Mais C’est pas qu’on est tous en détresse Il faut juste attendre sag’ment Qu’un jour ou l’autre tout cela cesse Je suis, on reste en confinement

A cause de nôtre âge On n’avait pas 20 ans, on avait des projets, On avait tout le temps, on n’avait qu’à s’aimer, On n’avait pas d’enfants, même si toi t’en voulais, On se promen’ait souvent, le soir au long des quais. Je garde cette image du temps qu’on a passé, Et bien souvent en marge de la réalité, Et quant à être sages, nous n’y avons songé, Qu’à cause de nôtre âge. J’te tenais par la main, tu voulais t’envoler, Sur ce même chemin, où l’on s’est rencontrés, Un jeudi de Juin, dans mes bras tu tombais, Je n’y étais pour rien, mais j’ai dû succomber. Je garde cette image du temps qu’on a passé, Et bien souvent en marge de la réalité, Et quant ’à être sages, nous n’y avons songé, Qu’à cause de nôtre âge. Quand on allait au bal, que tu voulais danser, Dans ta robe bleu pâle, sur cette place, en Juillet, Noyé dans ton regard, lesd heures s’écoulaient, Il était souvent tard, quand, enfin, on rentrait. Je garde cette image du temps qu’on a passé, Et bien souvent en marge de la réalité, Et quant à être sages, nous n’y avons songé, Qu’à cause de nôtre âge. On est plus ces ados qui voulaient s’évader, On a eu des marmots, on s’est un peu rangés, Ce matin, il fait beau, on est ensemble mais, Il me manque les mots pour pouvoir te quitter. Je garde cette image du temps qu’on a passé, Et bien souvent en marge de la réalité, Et quant à être sages, nous n’y avons songé, Qu’à cause de nôtre âge.

Dis-moi de là-haut Ça fait déjà longtemps qu’il me manque une chose, Que je vais de l’avant, que chaque jour j’ose. Même si le quotidien n’est bien sûr pas tout rose, Je garde le chemin en défendant ta cause. Mais tout au fond de moi, Je n’peux pas, je n’sais pas. Dis-moi de là-haut, est-ce que tu m’vois ? Vois-tu mes larmes et mes blessures, mes échecs ou mes longs combats ? Je sais que là-haut, tu es là, A m’entourer de ton armure, à me guider quand rien ne va. Souvent j’entends encore le timbre de ta voix Me dire ces mêmes mots, ceux qui comptaient pour moi. J’te vois encore sourire et m’apprendre le monde. Je garde en souvenir chacune de nos secondes. Mais tout au fond de moi, Je n’peux pas, je n’sais pas. Dis-moi de là-haut, est-ce que tu m’vois ? Vois-tu mes larmes et mes blessures, mes échecs ou mes longs combats ? Je sais que là-haut, tu es là, A m’entourer de ton armure, à me guider quand rien ne va. Mais tout au fond de moi, Je n’peux pas, je n’sais pas. Vois-tu tous les combats Que je mène pour toi ? Dis-moi de là-haut, est-ce que tu m’vois ? Vois-tu mes larmes et mes blessures, mes échecs ou mes longs combats ? Je sais que là-haut, tu es là, A m’entourer de ton armure, à me guider quand rien ne va.

En attendant C’est juste une p’tite chanson, Un mélange des mots, Avec pour ambition, De tout rendre mieux et beau. Se dire qu’en attendant, on a évité l’pire Se dire qu’on a tendance à garder les souvenirs. C’est juste une mélodie, Quelque peu imparfaite, Les paroles, les non-dits, Qui gâchent un peu la fête. Se dire qu’en attendant, je n’t’ai pas vue partir, Se dire qu’on a tendance à vouloir reconstruire. C’est tout juste une prose, De mes pensées intimes, Qui, là, se juxtaposent, Au reste que j’abime. Se dire qu’en attendant, le meilleur reste à v’nir, Se dire qu’on a tendance à trop vouloir s’enfuir. C’est juste un texte en plus, Pour tenter de savoir, Comment un consensus Efface notre histoire. Se dire qu’en attendant, j’n’ai pas su t’retenir, Me dire que j’ai tendance à vouloir en finir. C’est juste une p’tite chanson [en attendant] C’est juste une mélodie [on a tendance] C’est tout juste une prose [en attendant] C’est juste un texte de plus [on a tendance] C’est juste une p’tite chanson [en attendant] C’est juste une mélodie [on a tendance] C’est tout juste une prose [en attendant] C’est juste un texte de plus [on a tendance] C’est juste une p’tite chanson [en attendant] [En attendant] C’est juste un texte de plus [on a tendance] C’est juste une p’tite chanson

Je viens de là Je viens de là où les gosses dansent, Comme des symboles d’innocence, Des petits pas mais conséquence De la douceur de leur enfance. Je viens de là où la richesse Est intérieure et sans complexe, Où la vie n’est qu’une caresse, Une friandise que l’on vous laisse. Je viens de là Je viens de là Je viens de là où l’on apprend, A cultiver le Différent, A prendre soin de nos Parents, A les aimer infiniment. Je viens de là où les erreurs Te font grandir, te rendent meilleur, T’accrochent à toutes ces valeurs Qu’on t’a transmises avec le cœur. Je viens de là Je viens de là Je viens de là, c’est ma vie, et mon enfance, Je viens de là, faite d’amour, de bienveillance, Je viens de là, maint’nant, j’en mesure la chance, Je viens de là, j’veux la même pour ma descendance. Chez moi, y’avait que d’la douceur, On se marrait tous les quarts-d’heures, Je pense encore à ce bonheur, J’en ressens encore la chaleur. Ça vient de là si j’suis comme ça, Si j’aime autant la vie que ça, Que j’peux pas rester longtemps seul, Que c’est comme une fleur que je cueille. Ça vient de là Ça vient de là Je viens de là où tout est simple, Où y’a une place pour chacun, Où l’on met toujours en commun Nos joies mais aussi nos chagrins. Chez moi y’avait pas d’superflu, Pour c’qu’on a eu, on s’est battus, On se suffisait même de peu, Du moment qu’on était heureux. Je viens de là Je viens de là Je viens de là, c’est ma vie, et mon enfance, Je viens de là, faite d’amour, de bienveillance, Je viens de là, maint’nant, j’en mesure la chance, Je viens de là, j’veux la même pour ma descendance. J’veux transmettre ça à mes enfants, Qu’ils se rappellent de ces moments, Qu’ils soient eux aussi des acteurs, Et créateurs d’un monde meilleur. Qu’ils reviennent juste à l’essentiel, Qu’ils prennent le temps du naturel, Pour que leur vie soit aussi belle, Je viens de là et j’m’en rappelle. Je viens de là, c’est ma vie, c’est mon enfance, Je viens de là, faite d’amour, de bienveillance, Je viens de là, maint’nant, j’en mesure la chance, Je viens de là, j’veux la même pour ma descendance.

Le fils d’un autre Je t’ai aimé dès le début, Toi l’enfant que j’n’ai jamais eu, Et même si je n’t’ai pas vu naître, J’ai tant de choses à te transmettre. Je t’ouvrirai toujours les bras, Toi qui ne m’appelle pas Papa. Que cette histoire devienne la nôtre, Toi qui es le fils d’un autre. Ton visage ne ressemble pas Aux mêmes traits qu’il y a sur moi, Tu as quelques goûts différents, Et un humour très étonnant. On s’apprivoise encore un peu, Chacun fait souvent de son mieux, On se surprend à se trouver Des défauts ou des qualités. Je t’ai aimé dès le début, Toi l’enfant que j’n’ai jamais eu, Et même si je n’t’ai pas vu naître, J’ai tant de choses à te transmettre. Je t’ouvrirai toujours les bras, Toi qui ne m’appelle pas Papa. Que cette histoire devienne la nôtre, Toi qui es le fils d’un autre. On veut créer des habitudes, Effacer nos deux solitudes, Combler le manque que l’on avait, Ce foutu puzzle incomplet. On tente des choses, on improvise, Mais la pudeur reste de mise. Y’a peu d’temps on s’connaissait pas, On va pas s’sauter dans les bras. Je t’ai aimé dès le début, Toi l’enfant que j’n’ai jamais eu, Et même si je n’t’ai pas vu naître, J’ai tant de choses à te transmettre. Je t’ouvrirai toujours les bras, Toi qui ne m’appelle pas Papa. Que cette histoire devienne la nôtre, Toi qui es le fils d’un autre. Parfois on s’imagine chacun Un début de vie en commun, On en veut parfois au destin, Maudit sois l’temps de l’autre sans l’un. Entre nous pas besoin d’armure, On se guérit de nos blessures, Sans vraiment en sortir indemnes, Mais sois sûr mon fils que je t’aime. Je t’ai aimé dès le début, Toi l’enfant que j’n’ai jamais eu, Et même si je n’t’ai pas vu naître, J’ai tant de choses à te transmettre. Je t’ouvrirai toujours les bras, Toi qui ne m’appelle pas Papa. Que cette histoire devienne la nôtre, Toi qui es le fils d’un autre.

Ce soir, j’ai un live Bon, là c’est l’premier, faudrait un peu l’préparer, Mais pourquoi j’ai dit ça, franchement, y’avait mieux comme idée. Toute façon, on verra, si ça s’trouve ça va pas marcher, Y’a p’t’être même personne qui viendra, ou alors on s’ra dix, à tout péter. « Non, Ludo, te dis pas ça ! » euh attends t’es qui toi ? « J’suis ta conscience, ton ange gardien, ta voix dans ta tête, tu sais, le gars qui te donne des conseils ! » Oula ! Oula tu fais flipper ! « Ecoute-moi … » ouais enfin calme-toi l’ami, t’es juste ma voix avec un p’tit peu d’reverbe… bref ! Ce soir, j’ai rendez-vous, Pas quelque part, mais sur Facebook, J’suis en r’tard, j’fais pas de douche, Il est moins l’quart, c’est le foutoir, mais moi j’m’en fous ce soir… J’fais un live ! Bon ben ça c’est fait J’viens d’finir l’premier et franch’ment, C’était chouette, c’était bien, Y’avait même des copains ! On s’est bien marré et puis, ça m’a même permis de répéter. Et c’est vrai qu’ils avaient l’air content en plus, ‘Fin à part p’t’être une ou deux personnes tout au plus. « Tu devrais recommencer … » oh non, c’est pas vrai, t’es encore là, toi … Ça t’dirait pas un jour, peut-être de m’foutre la paix ? « Mais si, tu devrais le faire de temps en temps, tu sais, pour les divertir, les faire sourire, leur éviter l’pire, leur éviter de sort… » Ouais ça va, j’ai compris,… j’vois où tu veux en v’nir. Ce soir, j’ai rendez-vous, [encore] Pas quelque part, mais sur Facebook, [euh attends, tu parles de moi ou d’toi là ?] J’suis en r’tard, j’fais pas de douche, Il est moins l’quart, c’est le foutoir, mais moi j’m’en fous ce soir… J’fais un live ! Euh, chérie, il reste du Berger ? Non, mais j’sais pas, la webcam, elle arrête pas de beuguer… Tous les mercredis et les samedis ? C’est vraiment ça, c’que j’ai dit ? J’ai d’jà du mal à choisir quel plat j’vais manger à midi… En plus, il va falloir trouver des morceaux, histoire que ça change, Ah, les gens sont durs,… Ah ! Puis il faut racheter d’l’apéro,… ça par contre ça m’arrange ! « Et si tu composais ? » Non, sérieux, va falloir penser à me lâcher … En plus j’ai pas d’idées, pas d’mélodies, Et franchement, c’que t’es en train d’me dire, ça commence à m’faire ch… « Justement, parle de ce que tu fais maintenant, une chanson sur le confinement, en ce moment, c’est dément ! » Mouais, j’veux bien essayer mais pas… Ce soir, j’ai rendez-vous, [ben ouais] Pas quelque part, mais sur Facebook, [ouais ça dépend d’la wifi] J’suis en r’tard, j’fais pas de douche, Il est moins l’quart, c’est le foutoir, mais moi j’m’en fous ce soir… J’ai un live ! Qu’est-ce que j’vais écrire ? Qu’est-ce que j’vais leur dire ? Nooooonnnn ! Un album ? J’ai vraiment dit un album ? Mais même moi, quand j’l’ai dit, j’ai failli tomber dans les pommes ! Et comme si ça suffisait pas, j’leur ai annoncé le 11 Mai, Y’a encore plein de compos à écrire, et franchement, j’ai pas une seule idée… « Et tes enfants ? » Mais non, ça, j’l’ai déjà fait ! « Le confinement ? » Ah ben ça aussi, et c’est même toi, le premier qui m’a donné l’idée ! « L’amour, la mort ou la nature. Pourquoi pas une belle aventure ? » Ah ben, j’demande que ça mais,… C’est quand même super dur ! Ce soir, j’ai rendez-vous, Pas quelque part, mais sur Facebook, Je suis en r’tard, j’fais pas de douche, Il est moins l’quart, c’est le foutoir, mais moi j’m’en fous ce soir…

Ma Princesse Si je vois dans son visage rien qu’un peu de tristesse, Avec ou sans armure, je la protège sans cesse Et envers et contre tout, qu’importe ma maladresse, Pour que ce monde de fou n’atteigne pas ma Princesse. Est-ce qu’il faut tout lui dire, Le meilleur et le pire, Ce qu’il peut advenir, De cette naïveté, Qui rend tout beau et gai, Qui la fait voyager, Je me demande si Si je vois dans son visage rien qu’un peu de tristesse, Avec ou sans armure, je la protège sans cesse Et envers et contre tout, qu’importe ma maladresse, Pour que ce monde de fou n’atteigne pas ma Princesse. Est-ce qu’il faut lui apprendre, Et lui faire tout comprendre, Ce bonheur qu’on nous prend, Sans pouvoir le toucher, Sans pouvoir le garder, Toute une vie à l’attendre, Je me demande si Si je vois dans son visage rien qu’un peu de tristesse, Avec ou sans armure, je la protège sans cesse Et envers et contre tout, qu’importe ma maladresse, Pour que ce monde de fou n’atteigne pas ma Princesse. Est-ce qu’il faut lui faire voir, Toutes ces heures les plus noires, Entre nuit et brouillard, Ces folies, ces histoires, Les siennes sont en couleur, Les siennes sont sans douleur, Je me demande si Si je vois dans son visage rien qu’un peu de tristesse, Avec ou sans armure, je la protège sans cesse Et envers et contre tout, qu’importe ma maladresse, Pour que ce monde de fou n’atteigne pas ma Princesse. Est-ce qu’elle devra connaître, Encore la même défaite, Qui reste dans nos têtes, Cette envie de renaître, Sans avoir fait le tour, De c’qu’on appelle l’Amour, Je me demande si Si je vois dans son visage rien qu’un peu de tristesse, Avec ou sans armure, je la protège sans cesse Et envers et contre tout, qu’importe ma maladresse, Pour que ce monde de fou n’atteigne pas ma Princesse.

La dernière chanson C’est la dernière chanson, Elle est pas mal, mais y’a pas d’accordéon. Tu t’es enfilé tout l’album, T’as failli tomber dans les pommes, Certains ont même vomi trois fois, Ont regretté David Guetta ! Ta femme l’a remis quatorze fois, encore la 6 et puis la 3, Tes enfants ont entendu ça, t’as dû vendre le home cinéma, Ce truc-là tu l’digères mêmes plus, on peut dire que t’en as plein l’c**, En plus, il est même pas connu, si j’avais su, ben j’s’rai pas v’nu ! C’est la dernière chanson, Elle est pas mal, mais y’a pas d’accordéon. Tu t’es enfilé tout l’album, T’as failli tomber dans les pommes, Certains ont même vomi trois fois, Ont regretté David Guetta ! Depuis qu’t’as découvert c’machin, tu te le tapes tous les matins, Du salon à la salle de bain, il passe même pas sur TF1 ! En plus, j’l’ai pas vu à « The Voice », ça , ça fait bien marrer tes gosses, C’est pas Slimane ou même Vitaa, je vous en prie arrêtez ça ! C’est la dernière chanson, Elle est pas mal, mais y’a pas d’accordéon. Tu t’es enfilé tout l’album, T’as failli tomber dans les pommes, Certains ont même vomi trois fois, Ont regretté David Guetta ! T’as vu, il a fait un couplet, parce qu’il avait pas d’autre idée, Il a fait semblant d’rédiger un texte avec des rimes en é. Suffit de plaquer des accords, de faire rimer des mots en or, Pour qu’un refrain qu’est une connerie, ben ça fasse chanter tes amis ! C’est la dernière chanson, Elle est pas mal, mais y’a pas d’accordéon. Tu t’es enfilé tout l’album, T’as failli tomber dans les pommes, Certains ont même vomi trois fois, Ont regretté David Guetta ! Le pire c’est qu’avec ces trucs-là, tu vas voir qu’on le reverra, Elles sont mauvaises toutes ces bêtes-là, plus tu les chasses, ben plus y’en a. S’rait foutu d’nous faire un best-of, de reprendre du Michel Strogoff. Ce couplet est une catastrophe, fallait trouver une rime en of ! C’est la dernière chanson, Elle est pas mal, mais y’a pas d’accordéon. Tu t’es enfilé tout l’album, T’as failli tomber dans les pommes, Certains ont même vomi trois fois, Ont regretté David Guetta !

SI ON DANSAIT Ton sourire Nous allons mettre les voiles Pour partir Visiter quelques étoiles Marcher le long de ces collines Ou ton regard s’illumine Ton visage Bercé par cette lumière Est l’image Qui transperce mes mystères Plonger dans la source avec toi Entendre le son de ta voix Si on partait Jusqu’au bord de la mer Histoire de se retrouver Juste toi et moi Si on dansait Comme on l’faisait hier Sans jamais se lasser D’être heureux comme ca Si on vivait en laissant nos prières Nos rêves et puis nos souhaits On les exaucera Si on s’aimait Comme si c’était la der Comme si c’était Comme si c’était la dernière fois Ton souvenir Un jour, une heure, une escale Pour t’offrir La plus belle des toiles Marcher le long de cette route Ne plus laisser de place au doute

DANS TES YEUX Si l’essentiel de mon sourire Passe par tes éclats de rire Par ton visage rempli d’espoir, Je construirai ton avenir, Que le meilleur écrase le pire, Que ta vie ne soit qu’une victoire Et dans tes yeux Chaque jour Je ne veux Voir que de l’amour Et dans mon cœur Il y aura Sans pudeur Une place pour toi Tu connaitras sans doute des peines Tu sentiras ton cœur qui saigne Tu ne verras plus le soleil A chaque instant je te dirai Que tes rêves sont à ta portée Bats-toi pour les réaliser

Ta voix Car j’entends plus ta voix J’me demande pourquoi Sans toi la vie n’est que douleur Je compte les minutes et les heures Je n’voix plus tes yeux Qui m’rendaient heureux J‘entends plus ton rire Je n’cesse de souffrir Je te cherche dans les blagues que j’entends de partout Je t’espère aux détours des rues qui mènent je n’sais ou J’t’imagine m’attendant un soir pour discuter De ta vie que la route a cruellement brisée Ref C’est arrivé alors que je n’m’y attendais pas C’est c’que tous les gens disent dans des cas comme ça Le lien qui nous unissait était tellement fort Qu’aujourd’hui j’réalise toujours même pas ta mort Ref J’attends encore ton appel aujourd’hui Mais par un autre j’apprends ce drame qui m’a détruit J’me pose des tas d’questions pourquoi comment par qui Pas de réponses seule la perte d’une amie Ref x2